Une nuit où il faisait froid et où mes muscles criaient de la douleur de porter le panda, je me suis dit:" ça ne cessera pas; J'ai envie d'être libre et léger".
Je l'ai arraché à mon cou, c'était dur, mais pas impossible. Il a grogné, mais était trop fermement endormi, alors je l'ai laissé sur une souche, ai embrassé sa truffe et je me suis enfui en sanglotant. Plus j'avançais et plus ma tristesse disparaissait, laissait place à légèreté qui préalablement m'habitait.
OUF!
lundi 2 mai 2011
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